Une journée pour informer et sensibiliser les patients à l'importance d'exprimer leur choix
Près de 80 % de la population se déclare favorable au don de ses propres organes après la mort. Pour autant, en 2024, plus d’un tiers des prélèvements (36,4 %) a été refusé, en partie parce que les proches, faute de connaître la position du défunt, ont préféré dans le doute rapporter une opposition… (source : Agence de la biomédecine)
Comme chaque année, se tient le 22 juin la journée nationale du don d’organes et de tissus. Le Collège de la Médecine Générale saisit cette occasion pour rappeler l’importance d’en parler et d’encourager les patients à exprimer leur choix sur cette question qui les concerne. Ce y compris lors des consultations de routine : encourager au dialogue avec la famille et les proches peut faire la différence, et permettre à chacun·e de faire respecter son choix.
💬 RAPPELER AUX PATIENTS EN CONSULTATION QUE :
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- même si nous sommes tous au regard de la loi présumés donneurs, il est essentiel d’en parler ou de laisser une trace écrite pour être assuré que son choix soit connu et respecté
- on peut tous avoir besoin d’une greffe un jour et chacun peut donner, quel que soit son âge, son état de santé, sa religion
- 1 donneur peut sauver jusqu’à 7 vies
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👍 RELAYER LES OUTILS D'INFORMATION
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Le don d’organes, c’est aussi la vie après la greffe, et donc la prise en soins des patients concernés.
Dans le guide “Patients greffés en soins primaires”, retrouvez les conduites à tenir de surveillance et de suivi des patients transplantés.
La contraception chez les patientes transplantées présente également des particularités, notamment eu égard au potentiel tératogène voire génotoxique de certains traitements immunosuppresseurs : retrouvez les recommandations de la HAS dans ce guide ebmfrance-HAS.
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